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La Voix du département de Bakel

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Marine Macky
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1/ Un défi fondamental : la guerre ou la paix ?

L’année écoulée laisse en héritage un bilan diplomatique désastreux. Pourtant, elle n’avait pas trop mal démarré : le 3 janvier 2022, les dirigeants des cinq membres permanents du Conseil de sécurité (Biden, Poutine, Xi-Jinping, Johnson et Macron) produisaient une déclaration enterrant la «culture du western» sur la base d’un constat : «Celui qui tire le premier meurt aussi». Pour les optimistes, l’Amérique s’était donc faite à l’idée que ses adversaires puissent avoir des intérêts à faire valoir et des moyens dissuasifs pour les défendre : consciente que sa capacité de «frappe nucléaire en premier» pourrait être neutralisée par une «décapitation» préventive par les armes russes, peut-être se résignerait-elle à écouter le point de vue adverse et à discuter, renonçant aux menaces, aux sanctions et au chantage nucléaire pour faire de la diplomatie comme les autres. La crise ukrainienne allait mettre en évidence l’impossibilité d’un dialogue, Joe Biden décrétant que l’Amérique devait «à nouveau guider le monde comme elle l’avait toujours fait» (sic), une idée baroque qui passe désormais très mal. En phase avec Xi-Jinping, Vladimir Poutine martelait à Moscou en août 2022 : «Je répète que l’ordre mondial unipolaire est en train de devenir une chose du passé. Peu importe la force avec laquelle les mondialistes s’accrochent à la situation, c’est voué à l’échec.»

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Lula Pdt Bresil 2022
Après sa très courte victoire sur un Jair Bolsonaro qui ne s’est toujours pas exprimé, Lula va devoir gouverner un pays qui sort d’une campagne violente et polarisée, en crise économique, avec un congrès hostile

Après les scènes de liesse dans les rues du pays, les feux d’artifice toute la nuit et un discours de victoire plein de promesses, Lula, président élu du Brésil, peut se préparer dès ce lundi 31 octobre à un mandat qui s’annonce compliqué.

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Les fonctionnaires impériaux, même à titre « diplomatique », continuent de déclarer effrontément que leur contrôle exceptionnaliste sur le monde est obligatoire.

Si ce n’est pas le cas, des concurrents pourraient émerger et leur voler la vedette – monopolisée par les oligarchies américaines. Cela, bien sûr, est un anathème absolu.

Le modus operandi impérial contre les concurrents géopolitiques et géoéconomiques reste le même : avalanche de sanctions, embargos, blocus économiques, mesures protectionnistes, culture de l’annulation, montée en puissance militaire dans les nations voisines et menaces diverses. Mais surtout, la rhétorique belliciste – actuellement portée à son paroxysme.

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Sandrine Regol Ecologiste

Invitée de franceinfo dimanche 30 octobre, la députée EELV Sandra Regol a pointé la responsabilité du ministre de l'Intérieur dans les débordements qui ont marqué la journée de manifestation à Sainte-Soline, contre l'installation d'une "méga-bassine" de rétention d'eau.

"Il n'y a qu'un seul responsable, c'est le donneur d'ordre, Gérald Darmanin", assure Sandra Regol, dimanche 30 octobre sur franceinfo, au lendemain de violents heurts lors d'un rassemblement interdit contre une "méga-bassine" pour l'irrigation agricole, à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres. "Ce qui est raté, c'est d'avoir déployé une force aussi disproportionnée face aux manifestants qui n'étaient pas là pour porter atteinte ou porter préjudice aux forces de l'ordre", estime la vice-présidente du groupe écologiste à l'Assemblée.

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